AVATAR : DE FEU ET DE CENDRES DANS NOS CINÉMAS DÈS LE 17 DÉCEMBRE

À l'occasion de la sortie d'Avatar : De feu et de cendres, nous avons interrogé Jean Nicolas Tirlo, directeur Images et son d’UGC concernant ce film-événement.

Quelles technologies spécifiques ont été mises en avant pour la sortie d’Avatar (HFR, 3D, son immersif, etc.) ?
Avatar : La Voie de l’eau a remis en avant plusieurs technologies de pointe : la projection HFR (High Frame Rate) pour une fluidité accrue, la 3D de dernière génération, et le son immersif. Avatar : de feu de cendres ne déroge pas à cette règle et s’accompagne de ces mêmes technologies, avec toujours un soin particulier sur la 3D, dont il reste un film moteur. Chez UGC, on a particulièrement travaillé sur la qualité lumineuse en 3D, un point crucial pour une expérience de qualité.

Avatar est souvent cité comme un tournant technologique dans le cinéma. Qu’en pensez-vous ?
Au-delà d’Avatar, c’est avant tout James Cameron qui est le moteur de ces innovations. Il ne se contente jamais des outils disponibles : il les repousse, les adapte ou les invente. The Abyss et Terminator 2 ont imposé des avancées majeures en effets numériques. Titanic a intégré des techniques hybrides inédites. Avatar a poussé la 3D, le motion capture et les caméras virtuelles à un niveau qui a obligé toute l’industrie à évoluer. Son influence dépasse ses films ; elle touche les caméras, les standards de projection, et les méthodes de postproduction. Cameron est, concrètement, l’un des réalisateurs qui fait le plus avancer la technique du cinéma moderne, et Avatar a apporté son lot d’avancées technologiques.

Quels sont les défis techniques pour projeter un film comme Avatar dans les meilleures conditions ?
Le plus gros défi, c’est la luminosité en 3D : un film aussi visuellement riche demande une image claire et équilibrée, ce qui implique des projecteurs puissants, des écrans performants et un calibrage très précis. Ensuite vient la gestion du HFR, qui nécessite une parfaite synchronisation entre serveur, projecteur et lunettes 3D. Enfin, il y a la cohérence entre les salles : un film comme Avatar doit être perçu avec la même qualité à Bercy, à Lyon ou à Bruxelles, ce qui demande un suivi technique très rigoureux.

Dès le 17 décembre, retrouvez Avatar : De feu et de cendres, réalisé par James Cameron, en HFR dans nos salles. Retrouvez ci-dessous la liste des cinémas équipés.

UGC et le HFR

• PARIS
  • UGC Ciné Cité Les Halles
  • UGC Ciné Cité Maillot
  • UGC Montparnasse
  • UGC Danton
  • UGC Ciné Cité Bercy
  • UGC Lyon-Bastille
  • UGC Gobelins
  • UGC Ciné Cité Paris 19
• RÉGION PARISIENNE
  • UGC Ciné Cité La Défense
  • UGC Issy-les-Moulineaux
  • UGC Ciné Cité Rosny
  • UGC Ciné Cité O Parinor
  • UGC Ciné Cité Créteil
  • UGC Ciné Cité Noisy-le-Grand
  • UGC Ciné Cité Cergy-le-Haut
  • UGC Enghien
  • UGC Ciné Cité Vélizy
  • UGC Ciné Cité Parly
  • UGC Ciné Cité SQY Ouest
  • UGC Les Ulis
  • UGC Plaisir
  • UGC Le Majestic
• BORDEAUX
  • UGC Ciné Cité Bordeaux
  • UGC Ciné Cité Bassins à flot
  • UGC Talence
• CAEN
  • UGC Ciné Cité Mondeville
• LILLE MÉTROPOLE
  • UGC Ciné Cité Lille
  • UGC Ciné Cité Villeneuve d'Ascq
  • Les Écrans
• LYON
  • UGC Ciné Cité Internationale
  • UGC Ciné Cité Confluence
  • UGC Ciné Cité Part-Dieu
• NANCY
  • UGC Nancy Saint-Jean
  • UGC Ciné Cité Ludres
• NANTES
  • UGC Ciné Cité Atlantis
• STRASBOURG
  • UGC Ciné Cité Strasbourg
• TOULOUSE
  • UGC Montaudran

Que signifie HFR ? 
HFR (High Frame Rate) fait référence à une cadence d'images par seconde supérieure à la norme. Pour le cinéma cette norme est de 24 images par seconde. Dans le cas d'Avatar : De feu et de cendres, le réalisateur James Cameron a filmé avec une fréquence doublée, soit 48 images par seconde.

Pourquoi parle-t-on d'images par seconde ?
Cette terminologie vient du fait que l'on comptabilise le nombre d'images en une seconde, puisque ce que l'on perçoit à l’écran est le résultat d’un enchaînement d’images fixes. Cette succession d'images est par la suite interprétée par le cerveau comme un mouvement. Il est nécessaire d'avoir un minimum de 16 images par seconde afin d'obtenir la restitution d'un mouvement fluide.